LUIS MARIANO
Revivez la Légende
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Samedi 12 novembre, une vingtaine de personnes, toutes bien valides, étaient conviées par Mme GRANDPRE à assister à l'évocation de la vie de Luis Mariano. Mme GRANDPRE avait reçu des invitations et nous en a gentiment fait profiter.
Donc, départ à 12h30 à La Noue et 12h45 à Croizat pour tout ce petit monde, curieux de
voir, et surtout d'entendre, un répertoire qui nous tient à coeur, tout en ignorant de quelle façon il serait évoqué. D'où l'intérêt supplémentaire de la surprise.
Le spectacle a commencé à l'heure et, de 15 h à 18h, avec juste une petite coupure d'une vingtaine de minutes, nous avons été émerveillés.
Nous étions 1700 au Zénith de Nancy à attendre, aussi impatients que des puces.
L'orchestre de 10 musiciens + le chef d'orchestre qui jouait de la trompette, était réparti harmonieusement et le piano blanc était assorti au costume des 4 ténors, tous vêtus, cravatés et chaussés de manière identique.
Un danseur espagnol accompagnait ses 5 danseuses ; les castagnettes et les talons marquaient bien le rythme du flamenco. Olé .............
Le présentateur, qui connaît la vie de Luis Mariano sur le bout des doigts, jusque dans les moindres détails, n'était autre que Henri-Jean SERVANT, qui présente également un programme de télé,, accompagné de Karen Chéryl.
Nous avons donc appris que le nom complet (ou presque car j'ai oublié les 2 derniers noms) de Luis Mariano était, en fait : Luis Mariano GONZALES. Mariano était son second prénom et le premier prénom de son père.
La famille GONZALES était composée des parents , de Luis et de sa soeur et ils ne se sont pratiquement jamais quittés. Luis a toujours vécu avec ses parents (eh non, il n'a jamais vécu avec une compagne, épouse ou non).
Il a quitté son Espagne natale pour vivre en France, mais n'a jamais voulu renier ses origines espagnoles et a toujours conservé son passeport d'origine.
Simple employé au fond d'un restaurant, il chantait en faisant ses besognes. Les clients ont demandé au Patron quelle était cette voix magnifique et l'ont réclamé dans la salle.
Il a donc commencé doucement sa carrière de chanteur et c'est en avril 1945 qu'il a fait officiellement ses débuts. Date que je ne peux oublier car je suis née un mois plus tôt ...
et, jusqu'au 14 juillet 1970, il a fait bien des heureux. Il est décédé sur scène et a tenu à terminer sa chanson, avant de s'écrouler.
Que de titres nous avons ouï, quel bonheur de reprendre tous en choeur les titres interprétés à tour de rôle par les 4 ténors - seuls, par deux, trois ou quatre -
Le bouquet final, MEXICO, nous a arraché des frissons. Imaginez ce qu'un seul ténor peut faire ressentir avec cet air et multipliez cette émotion par 4 et vous aurez une idée de ce que nous avons vécu. Bien sûr nous n'avons pu nous retenir de reprendre le refrain, mais les ténors se sont amusés à nous montrer jusqu'à quel point ils étaient capables de tenir la note finale. Pari tenu et quel pari !!!
Les applaudissements ont été à la hauteur du magnifique spectacle, parrainé par la 3e et dernière épouse de Francis LOPEZ, présente en personne. Nous avons été comblés !!!
Merci Mme GRANDPRE, nous ne sommes pas prêts d'oublier cet instant.
Donc, départ à 12h30 à La Noue et 12h45 à Croizat pour tout ce petit monde, curieux de
voir, et surtout d'entendre, un répertoire qui nous tient à coeur, tout en ignorant de quelle façon il serait évoqué. D'où l'intérêt supplémentaire de la surprise.
Le spectacle a commencé à l'heure et, de 15 h à 18h, avec juste une petite coupure d'une vingtaine de minutes, nous avons été émerveillés.
Nous étions 1700 au Zénith de Nancy à attendre, aussi impatients que des puces.
L'orchestre de 10 musiciens + le chef d'orchestre qui jouait de la trompette, était réparti harmonieusement et le piano blanc était assorti au costume des 4 ténors, tous vêtus, cravatés et chaussés de manière identique.
Un danseur espagnol accompagnait ses 5 danseuses ; les castagnettes et les talons marquaient bien le rythme du flamenco. Olé .............
Le présentateur, qui connaît la vie de Luis Mariano sur le bout des doigts, jusque dans les moindres détails, n'était autre que Henri-Jean SERVANT, qui présente également un programme de télé,, accompagné de Karen Chéryl.
Nous avons donc appris que le nom complet (ou presque car j'ai oublié les 2 derniers noms) de Luis Mariano était, en fait : Luis Mariano GONZALES. Mariano était son second prénom et le premier prénom de son père.
La famille GONZALES était composée des parents , de Luis et de sa soeur et ils ne se sont pratiquement jamais quittés. Luis a toujours vécu avec ses parents (eh non, il n'a jamais vécu avec une compagne, épouse ou non).
Il a quitté son Espagne natale pour vivre en France, mais n'a jamais voulu renier ses origines espagnoles et a toujours conservé son passeport d'origine.
Simple employé au fond d'un restaurant, il chantait en faisant ses besognes. Les clients ont demandé au Patron quelle était cette voix magnifique et l'ont réclamé dans la salle.
Il a donc commencé doucement sa carrière de chanteur et c'est en avril 1945 qu'il a fait officiellement ses débuts. Date que je ne peux oublier car je suis née un mois plus tôt ...
et, jusqu'au 14 juillet 1970, il a fait bien des heureux. Il est décédé sur scène et a tenu à terminer sa chanson, avant de s'écrouler.
Que de titres nous avons ouï, quel bonheur de reprendre tous en choeur les titres interprétés à tour de rôle par les 4 ténors - seuls, par deux, trois ou quatre -
Le bouquet final, MEXICO, nous a arraché des frissons. Imaginez ce qu'un seul ténor peut faire ressentir avec cet air et multipliez cette émotion par 4 et vous aurez une idée de ce que nous avons vécu. Bien sûr nous n'avons pu nous retenir de reprendre le refrain, mais les ténors se sont amusés à nous montrer jusqu'à quel point ils étaient capables de tenir la note finale. Pari tenu et quel pari !!!
Les applaudissements ont été à la hauteur du magnifique spectacle, parrainé par la 3e et dernière épouse de Francis LOPEZ, présente en personne. Nous avons été comblés !!!
Merci Mme GRANDPRE, nous ne sommes pas prêts d'oublier cet instant.
