vendredi 8 janvier 2010

Chorale CHANT'AMIS


Jeudi 7 janvier 2010

Nos nombreux amis (ils méritent bien leur nom) prennent place, face à leur chef, toujours aussi plein de vie. Deux de nos résidentes font partie de cette chorale et nous en sommes fiers. Aujourd'hui, il y a des absents mais on dénombre cependant 22 volontaires. Avant le plaisir des oreilles, c'est d'abord le plaisir des yeux qui l'emporte car, hommes et femmes portent les mêmes couleurs : "bas" noir, "haut" blanc, pour les femmes, un foulard et pour les hommes, une cravate, mais les couleurs sont identiques : saumon et blanc.

Attention, ça commence !

Au programme : chants de Noël de tous pays, pas seulement de France. Nous sommes conviés à aider les choeurs, mais c'est spontanément que nous reprenons les airs connus. Bien sûr, nos voix n'ont aucune comparaison avec les leurs, car nous n'avons aucun entrainement "professionnel", mais le résultat est très concluant et les applaudissements viennent de part et d'autre, à juste titre.

Avec cette chorale, l'humour est de rigueur et la décontraction totale mais "le chef" est là pour redresser la barre et, dès qu'il est question d'interprétation, chacun et chacune se concentre sur sa partition. Le résultat est là et nous sommes ravis.

Puis, c'est le tour des galettes, tièdes et délicieuses, qui deviennent les vedettes. Avec la boisson (dont le cidre ...), ce goûter est le bienvenu car les gosiers ont besoin de reprendre des forces.

Après quelques paroles amicales, entre amis puisque beaucoup de personnes se connaissent maintenant, c'est le départ ... jusqu'à la prochaine fois. Reprenez vos répétitions et revenez nous enchanter avec de nouvelles interprétations. A bientôt, Chant'amis ....

vendredi 1 janvier 2010

Visite des Eclaireurs de France

vendredi 1er janvier 2010 -


Je vous avais annoncé une surprise, la voilà : nous avons eu la visite de 17 Eclaireurs et Eclaireuses (dont certains avec leur fiancé ou fiancée).



De passage à St-Dizier, tous réunis par l'amitié qui les lie depuis 8 ans, ils viennent de tous les coins de France : Auxerre, Grenoble, Dijon, plus le Nord et le Sud, mais j'ai oublié les villes. Ils sont âgés de 18 à 23 ans.



Pour occuper leur journée d'hier, en chantant, ils ont tout simplement nettoyé deux endroits de notre ville et ont rempli pas moins de 35 sacs poubelle. Chapeau, les jeunes, mais pas pour les habitants car l'un des lieux se situe sur un parking à proximité de la mairie.



Je peux vous assurer qu'il émane d'eux une fraîcheur incroyable, qui n'a rien à voir avec le temps. Ils sont spontanés, souriant et ils nous ont réservé un après-midi fort agréable.



Nous n'avions pas le feu de camp, sécurité oblige, et nous nous sommes contentés du restaurant.


Après s'être présentés individuellement, ils nous ont appris la signification de la couleur de leur foulard, qui les diffférencie par région. Ce foulard tient par un noeud qui ressemble comme deux gouttes d'eau à un scoubidou. Pas de risque qu'il se détache tout seul, et, en plus, c'est bien joli.





Pour nous montrer un échantillon de ce qu'ils savent faire, ils sont partis d'une mise en scène entre deux jeunes : Blaise et Pascal, qui se téléphonent pour prendre rendez-vous autour d'un verre, pour discuter de choses et d'autres, ce qui les amène à parler "du bon vieux temps", de chansons qu'ils ont chantées, etc ... et, à chaque fois, ils reprenaient tous en choeur, les chansons proprement dites.



Nous avons même eu droit à un sketch, je dirais un "remake" de Cendrillon, avec ses soeurs, le prince charmant, la fée, mais avec le langage d'aujourd'hui. Ca vaut le détour ... surtout lorsque Cendrillon est immortalisée par un jeune homme. Je vous laisse imaginer.








Ils nous ont également conté une histoire d'animaux où nous devions imiter le cri de la bête en question. Ca non plus, ce n'est pas triste. Imaginez des personnes d'un certain âge en train d'imiter le loup, l'ours, le mouton, qui plus est, en riant. Je ne vous étonnerai pas en vous disant que Saïka, couchée dans son panier, dressait les oreilles en se demandant où étaient ces animaux qu'elle ne voyait pas.



Vient enfin le moment de nous retrouver tous ensemble autour des tables, devant de bonnes brioches et une boissons. Les discussions sont allées bon train et, au moment de leur départ, l'émotion était vive : l'une pleurait, tandis que l'autre était à deux doigts de repartir avec l'une des jeunes filles qui ne lui avait pas quitté la main.



Quelle agréable après-midi nous avons passé là ! Comme quoi les discussions sont tellement enrichissantes entre générations.






Comme promis, nous nous reverrons sans doute, et avec quel plaisir !



Bonne chance, les jeunes, gardez votre sagesse et votre fraîcheur.